Eisenbahnstrasse : La fin de la zone d’interdiction des armes suscite l’enthousiasme !

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L'Eisenbahnstrasse à Leipzig-Volkmarsdorf perd sa zone d'interdiction des armes. Le commissariat de police ouvre ses portes malgré les protestations ; Critique de la gauche.

Eisenbahnstraße in Leipzig-Volkmarsdorf verliert ihre Waffenverbotszone. Polizeiposten eröffnet trotz Protesten; Kritik von der Linken.
L'Eisenbahnstrasse à Leipzig-Volkmarsdorf perd sa zone d'interdiction des armes. Le commissariat de police ouvre ses portes malgré les protestations ; Critique de la gauche.

Eisenbahnstrasse : La fin de la zone d’interdiction des armes suscite l’enthousiasme !

La Eisenbahnstrasse à Leipzig-Volkmarsdorf n'est plus répertoriée comme zone d'interdiction des armes. Cette décision s'inscrit dans le cadre des efforts actuels du ministère de l'Intérieur saxon pour mettre en œuvre la suppression de la zone. Cependant, aucun calendrier pour cette mesure n'a été annoncé, comme le rapporte lvz.de.

Le porte-parole de la police, Moritz Peters, a expliqué que la suppression de la zone d'interdiction des armes ne modifierait pas les pouvoirs de la police. La police reste autorisée à effectuer des contrôles dans les foyers de criminalité, quels que soient les soupçons. En tant que telle, l'Eisenbahnstrasse continue d'être au centre du travail de la police.

Fond de zone d’interdiction des armes

La zone d'interdiction des armes a été créée en novembre 2018 pour améliorer la situation sécuritaire dans la région. Cependant, cette mesure a été critiquée par une partie de la politique et de la société comme étant stigmatisante. La suppression de la zone était liée à la condition qu'un poste de police soit installé dans l'Eisenbahnstrasse.

Le 25 juin, un nouveau commissariat de police a ouvert ses portes au 84 Eisenbahnstrasse, accompagné de manifestations. Malgré les manifestations, le message a été bien accueilli par de nombreux habitants. Il propose des heures de consultation du lundi au jeudi et compte trois fonctionnaires comme interlocuteurs.

Critique des postes de police et des zones d'interdiction des armes

Malgré la réponse positive de certains habitants, les critiques sont également nombreuses, notamment de la part du Parti de gauche. Juliane Nagel, députée du Land et conseillère municipale, a déclaré que les coûts du commissariat de police - près d'un million d'euros pour la rénovation et des frais mensuels de 2 400 euros - n'étaient pas justifiés. Elle soutient que les garanties sociales et les ressources nécessaires à une coexistence de bon voisinage sont plus importantes que la présence des forces de police.

La Gauche a à plusieurs reprises considéré d’un œil critique tant la zone d’interdiction des armes que le commissariat de police. Nagel affirme que la zone d'interdiction des armes ne contribue pas à la sécurité ou à une meilleure coexistence. Au contraire, cela conduit à une dévaluation de la zone et à la criminalisation des personnes. Une étude menée par l'Université de Leipzig confirme que la zone a eu peu d'impact sur la criminalité en général, alors que les conflits graves étaient largement absents. La majorité des habitants souhaiteraient des mesures préventives contre le trafic de drogue et les ordures, plutôt qu'une présence policière accrue.