La police détruit un périmètre de clôture à Leipzig : 10 000 euros de butin saisis !
Des vélos volés et des tickets mensuels contrefaits ont été découverts lors d'une descente de police à Leipzig. Suspects : 3 personnes.

La police détruit un périmètre de clôture à Leipzig : 10 000 euros de butin saisis !
Mercredi matin, des policiers de Leipzig ont procédé à des perquisitions déclenchées par des soupçons de vente de tickets mensuels contrefaits. Dans le cadre de ces investigations, les policiers ont découvert un ensemble complet de biens volés d'une valeur supérieure à 10 000 euros. Un Tunisien de 36 ans et deux Allemandes âgées de 41 et 43 ans sont accusés. Les trois suspects étaient soupçonnés d'avoir gagné une somme à quatre chiffres en vendant des billets mensuels contrefaits.
Les perquisitions ont eu lieu, entre autres, dans la Comeniusstrasse, où la police a trouvé des vélos, des cadres et des pneus de haute qualité dans les sous-sols des deux appartements. Des ordinateurs portables, des téléphones portables, des tablettes, un pistolet airsoft, un pistolet à blanc et des coups de poing américains volés ont également été saisis. La valeur totale des objets saisis se situe dans une fourchette à cinq chiffres, mais les chiffres exacts ne sont pas connus. Fort Image On ne sait pas si les suspects avaient toujours un emploi régulier.
Nouvelles enquêtes ouvertes
Dans le cadre de l'enquête en cours, de nouvelles poursuites ont été engagées pour vol et recel. Le butin était apparemment destiné à la revente, ce qui illustre encore l'ampleur de l'affaire. Les trois suspects ont été interrogés mais sont actuellement en fuite. Reste à savoir comment évoluera la procédure judiciaire.
La question de la recel de biens volés, telle que soulignée dans cette affaire, met en évidence les implications en matière de droit criminel de la vente et de l'achat de biens volés. Selon l'article 259 du Code criminel, la recel de biens volés constitue une infraction punissable si quelqu'un achète ou vend des biens volés. Un exemple de jurisprudence souvent cité est celui d’un ingénieur logiciel qui a acheté sans le savoir un appareil de navigation volé. L'affaire a été entendue par le tribunal régional de Karlsruhe, qui a annulé la décision précédente du tribunal de district car aucune action intentionnelle n'a pu être prouvée. L'ingénieur a finalement été acquitté car il n'avait aucun moyen de savoir que les marchandises avaient été volées.
Ces contextes juridiques soulèvent des questions sur les limites des biens volés et sur les preuves nécessaires. Par exemple, l'achat d'une véritable Rolex à un prix considérablement réduit peut être considéré comme un bien volé si les circonstances indiquent que l'article pourrait être volé, comme indiqué dans d'autres cas. La distinction entre les actions de droit civil et les aspects de droit pénal reste un sujet récurrent dans les litiges juridiques.