Vandalisme à Leipzig : une femme enduit la préfecture de police avec de la craie !

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Il y a eu des actes de vandalisme dans le centre-sud de Leipzig : une femme a barbouillé la préfecture de police, tandis qu'un autre incident a endommagé des voitures.

Im Zentrum-Süd Leipzig kam es zu Vandalismus: Eine Frau beschmierte die Polizeidirektion, während ein weiterer Vorfall Autos beschädigte.
Il y a eu des actes de vandalisme dans le centre-sud de Leipzig : une femme a barbouillé la préfecture de police, tandis qu'un autre incident a endommagé des voitures.

Vandalisme à Leipzig : une femme enduit la préfecture de police avec de la craie !

À Leipzig, une femme de 41 ans a enduit dimanche soir de la craie verte à l'entrée de la préfecture de police, dans la Dimitroffstrasse. Les faits se sont produits vers 21h10. et a été enregistré sur une caméra de surveillance. La police a pu arrêter la suspecte sur place, mais a pris des mesures d'identification et l'a expulsée. Une enquête a été ouverte contre la femme pour dommages matériels, a rapporté Jour24.

L'incident survient à un moment où le vandalisme est de plus en plus signalé à Leipzig. Un jour plus tôt, plus d'une douzaine de voitures en stationnement avaient été endommagées dans le quartier Zentrum-Süd, avec des rayures et des pneus crevés. Des graffitis politiques ont également été peints sur la façade d’une maison. La police a reçu de nombreux signalements de victimes et a pu identifier un suspect âgé de 28 ans. Son appartement a été perquisitionné sur ordre du parquet afin de recueillir d'éventuelles preuves. Selon les informations de, l'enquête est en cours LVZ à.

Le graffiti dans le champ de vision social

Ces incidents soulèvent une question fondamentale sur la perception que la société a des graffitis. Selon une enquête du MDR, 79 % des personnes interrogées estiment que certains graffitis ont une valeur artistique. Le graffiti est largement accepté comme forme d'art, en particulier chez les 16-29 ans. 92 % des personnes interrogées perçoivent les graffitis élaborés comme positifs, tandis que 86 % considèrent les graffitis illégaux comme visuellement dérangeants. Cet écart entre les graffitis légaux et illégaux se reflète également dans les souhaits des citoyens : 59 % souhaitent des sanctions plus sévères pour les graffitis illégaux, tandis que 52 % souhaitent davantage de murs de graffitis légaux. De plus amples informations sur cette enquête sont disponibles sur le site Web MDR.

Compte tenu de la situation, il est important d’offrir aux jeunes un espace d’expression artistique. La volonté d'espaces juridiques pourrait contribuer à réduire le nombre de dommages matériels et à favoriser le dialogue entre la ville et les citoyens. Cela pourrait non seulement accroître la valeur artistique des graffitis, mais également avoir un impact positif sur le paysage urbain dans son ensemble.